MUSICINE - Chico et Rita le film

Pour les nostalgiques des années 90, non je ne me suis pas trompée, c'est bien d'un film Chico et Rita dont je veux vous parler, et non du célèbre duo de jeunes danseurs brésiliens, qui ont fait danser la France entière sur les rythmes entraînant de Kaoma.


Ce matin, je me suis réveillée avec l'envie d'entendre du jazz, du swing, du be-bop, de la rumba, c'était en fait mon esprit qui pour je en sais quelle raison, s'est subitement remémoré ce film d'animation que j'ai vu il y a 3 ans à sa sortie en France.

Le pitch

La Havane, 1948, Rita Martinez est une chanteuse de jazz à la voix envoûtante. Chico est un jeune pianiste qui fait la fête avec son ami Ramon au Tropicana. Alors qu'il remplace le pianiste malade, le jeune homme impressionne la belle chanteuse. Charmée, Rita se laisse séduire par Chico qui passe la nuit avec elle. Mais au petit matin, le rêve se brise lorsque Juana, la petite amie de Chico, arrive. Le duo musical décide tout de même de passer un concours radiophonique et remporte un contrat avec l'Hôtel National. Là, Ron, un producteur américain, repère la jeune chanteuse et lui propose de le suivre à New York. Persuadée que Chico est amoureux de Juana, Rita accepte...

Mon bref avis

Je ne vais pas écrire des tartines pour faire une critique de film que je ne saurais réellement faire quoiqu'il en soit.

Mais toujours est il que ce film m'a émue, visuellement, le film est inventif, musicalement, c'est une petite merveille. 

La richesse, la qualité des prestations musicales du film, la reproduction parfaite des rythmes des grands noms de la musique cubaine, ou jazz de la scène américaine vous emportent et vous donnent la chair de poule. Charlie Parker, Dizzie Gillepsie sont autant de noms que vous entendrez dans le film. Et enfin, cette histoire d'amour qui a fait chavirer mon coeur, Rita et Chico, presque comme un écho à mes propres souvenirs.

source: allociné.fr

Le film ne manque pas de s'inscrire dans un contexte historique social en effet on y voit le Cuba des années 50 d'avant Castro, l'amérique hypocrite et ségrégationniste prête à acclamer des vedettes noires, mais pas à les traiter en égales.

 Le film

Assez de bla bla, 

j'ai trouvé un lien pour vous le faire découvrir, même si la qualité de l'image est moyenne, vous pourrez tout de même apprécier le moment ==> ICI